Université en action

Savoir(s) en commun : en quête d'identité

La 8e édition de Savoir(s) en commun, rencontre université-société, se déroulera du 12 au 28 novembre prochain. Cette édition 2009 est consacrée à « l'identité ». Biologique, génétique, sociale, administrative, politique, sexuelle... Qu'est-ce qu'une identité ?

Entretien avec Frédéric Zinck, chargé de mission de Savoir(s) en commun depuis 3 ans.

Pourquoi l'Identité ?

L'an dernier, Savoir(s) en commun était consacré à la «Fusion». Celle des entreprises, des cultures, des pratiques. Celle des universités aussi, qui était sur le point de se concrétiser à Strasbourg. L'idée forte qui avait émergé de cette réflexion et de ces échanges, était justement que la fusion ne pouvait se définir comme une perte d'identité. D'où les questions suivantes : qu'est-ce qui définit une identité et qu'implique sa caractérisation ?

Par ailleurs, ce thème a aussi le mérite d'être transdisciplinaire, tant la notion d'identité est large : de la génétique à la culture, en passant par la politique, la psychologie, le droit... Beaucoup d'enseignants-chercheurs pouvaient trouver matière à s'appuyer sur leur thème de recherche pour intervenir dans le débat et dans l'une ou l'autre des tables-rondes. Le thème propose aussi un fil conducteur clair pour l'ensemble de la manifestation. Ce continuum parlait manifestement aux intervenants, et je pense qu'il parlera aussi au public, de la même manière que le thème du travail, développé en 2007. Nous avions remarqué que certaines personnes avaient suivi l'ensemble des tables-rondes avec assiduité.

Alors que peut-on voir ou entendre, pendant ces quelques jours ?

Je demanderais plutôt : « que peut-on partager ? ». Car Savoir(s) en commun est avant tout un espace de partage, d'échange et de débat. Très concrètement, il y aura 30 rendez-vous, dans 20 lieux différents, 100 intervenants. La table-ronde reste au cœur du dispositif, mais nous avons également programmé des conférences, des projections-débats, des expositions photo ou vidéo, des spectacles. Il y aura aussi des cafés philo ou cafés essentiels. Cette année, différents événements sont également proposés à Mulhouse, à l'Université de Haute-Alsace.

J'attire aussi l'attention de toutes les personnes intéressées sur l'existence du site web, savoirsencommun.unistra.fr, qui est bien plus qu'un site de programmation. On y trouve, pour les éditions précédentes et celle qui se profile, toute une bibliographie en lien avec les tables-rondes, des débats filmés, des documentaires. De quoi approfondir le débat.

La manifestation Savoir(s) en commun existe maintenant depuis 8 ans, quelle évolution peut-on envisager pour elle ?

Savoir(s) en commun était une manifestation pluridisciplinaire, créée par les 3 universités strasbourgeoises. Aujourd'hui, elle est une manifestation multidisciplinaire, portée par l'université unique de Strasbourg. Se pose donc la question, très à propos : « quelle est la nouvelle identité de Savoir(s) en commun ? ».
Nous cherchons à saisir comment elle doit évoluer, quelle place cette manifestation doit occuper, notamment dans la politique « sciences en société » de l'Université de Strasbourg.
Au cours de l'édition qui va commencer, nous réaliserons un audit le plus large possible auprès du public (3 à 4000 personnes chaque année), mais aussi auprès des 600 enseignants-chercheurs qui ont participé à l'une ou l'autre des 8 éditions.

En attendant, les pistes de thématiques pour l'édition 2010 commencent à se profiler : les genres, la vérité, le corps...

Plus d'infos : savoirsencommun.unistra.fr


Propos recueillis par Caroline Laplane

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Les universités du Rhin supérieur fêtent leurs 20 années de collaboration

Depuis 1989, les sept puis cinq universités formant Eucor, la Confédération des universités du Rhin supérieur, travaillent de concert afin de faire de cet espace géographique une « région modèle », comme le souligne Hans-Jochen Schiewer, recteur de l'Université de Fribourg-en-Brisgau et actuel président de la confédération. Les 18 cursus communs créés jusqu'à présent ne sont qu'un aperçu du potentiel unique de la « métropole universitaire » rhénane.

« Les étudiants mobiles au sein d'Eucor sont aujourd'hui encore des prototypes », affirme Alain Beretz, le président de l'Université de Strasbourg, « car si elle est un atout évident, cette mobilité de proximité rencontre encore de nombreux obstacles ». Au premier rang desquels on trouve paradoxalement les réformes engendrées par le processus de Bologne, dont l'objectif est pourtant de favoriser les échanges universitaires. « Mais c'est une tendance naturelle de se concentrer d'abord sur soi lorsque l'on doit réformer en profondeur. Les échanges avec les autres ne viennent que dans un deuxième temps », explique Antonio Loprieno, recteur de l'Université de Bâle. Le coût des déplacements, la concordance des calendriers universitaires, les compétences linguistiques font également partie des points sur lesquels les universitaires rhénans travaillent ardemment, en collaboration avec les Länder, les cantons et la Région Alsace, afin de faire d'Eucor un pôle de formation et de recherche de premier plan.

Ce dernier point a d'ailleurs fait l'objet d'une attention toute particulière de la part du recteur Schiewer : les quelques 8 000 doctorants présents dans l'espace Eucor devront pouvoir disposer dans les années à venir d'une véritable plate-forme et d'outils à leur mesure. « La création en commun d'instituts dans certaines disciplines phares pourra y participer ».

L'internationalité au pied de sa porte : voilà le pari ambitieux qu'ont fait les universités du Rhin supérieur il y a vingt ans. Et qui mérite les efforts consentis.

Fabien Costilhes

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Le tour des services : Service universitaire de médecine préventive

Le Service universitaire de médecine préventive accueille 8 000 étudiants par an dans ses différentes consultations. Son fonctionnement a été peu impacté par la fusion des universités. Il pourrait se trouver en première ligne en cas de montée en puissance de l'épidémie de grippe. Rencontre avec Corinne Clarac, médecin et directrice du SUMPS depuis 8 ans.

Comment s'est passée la fusion pour le SUMPS ?

Sur le plan de notre fonctionnement, cela n'a rien changé, puisque nous étions un service inter-U des 3 anciens établissements, avec une organisation autonome. En revanche, sur le plan administratif, cela nous simplifie bien la vie, car nous n'avons plus qu'un seul interlocuteur. Nous nous sentons ainsi mieux intégrés au fonctionnement de l'université, dont nous sommes désormais un service central.

Quelles sont vos missions, précisément ? Comment ont-elles évolué ces dernières années ?

Les missions des services universitaires de médecine préventive sont définies dans le nouveau décret du 7 octobre 2008. Les principales d'entre-elles sont :

  • Organiser une veille sanitaire en :
  • effectuant au moins un examen préventif intégrant une dimension médicale, psychologique et sociale au cours des trois premières années d'étude dans l'enseignement supérieur ;
  • suivant tout spécialement les étudiants exposés à des risques particuliers durant leur cursus (médecine, dentaire, physique-chimie)
  • contribuant  au dispositif d'accueil des étudiants handicapés
  • impulsant des actions de prévention santé (addictions, équilibre alimentaire ,sida-hépatites, IST, don d'organes, sommeil...)

L'organisation d'un forum annuel de la santé, qui se déroule en mars, est d'ailleurs un point important de notre activité. Le forum de 2010 sera consacré au sommeil.

Au niveau des consultations, notre activité est stable : autour de 15 000 actes par an. Outre la médecine préventive, nous  proposons différentes consultations spécialisées : médecine du sport, nutrition, médecine tropicale, conseils aux voyageurs, aide au sevrage tabagique, dépistage du SIDA ou des hépatites, gynécologie (contraception, infections sexuellement transmissibles, grossesse), vaccinations. Nous accueillons également des consultations du CAMUS (Centre d'accueil médico-psychologique universitaire de Strasbourg) qui prend en charge l'aide psychologique aux étudiants. Au fil des années, l'offre de consultations s'est adaptée à la demande : par exemple, nous avons mis en place des ateliers de gestion du stress et de relaxation.
Il faut savoir que les étudiants paient un droit médical de 4,57 euros dans leurs droits d'inscription. Cette cotisation leur donne accès gratuitement à la plupart de nos consultations.

Et qu'en est-il de la grippe H1N1 ?

Nous sommes impliqués dans le plan de continuité mis en place à l'université en prévision d'une éventuelle pandémie. Nous accueillons les étudiants présentant des symptômes. On a diagnostiqué une dizaine de grippes, pour l'instant, sans savoir s'il s'agit de H1N1 ou de la grippe saisonnière. Pas de cas grave en tous cas.
Nous tenons le matériel prêt : masques, solutions hydro-alcooliques, kit d'examens, sacs poubelles spéciaux.

Propos recueillis par Caroline Laplane

Les données clés du SUMPS

  • l'équipe :

    • 8 infirmières (5 ETP -équivalent temps plein)
    • 7 médecins (2.3 ETP)
    • 7 administratifs
    • 1 manipulateur radio

  • coordonnées :

  • ouvert du lundi au jeudi de 8h à 17h30
    le vendredi de 8h à 17h
  • quelques repères chiffrés :

    • 15 037 actes en 2008-2009
    • 7 826 étudiants différents accueillis (58,7% de filles, 41,3% de garçons)
    • Age moyen des consultants : 21 ans

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Conseil d'administration du 20 octobre

Le Conseil d'administration de l'Université de Strasbourg, réuni le 20 octobre, a traité 48 points.

Si les délibérations sont envoyées à chacun des services concernés et  sont mises en ligne dans les jours qui suivent chaque réunion, on peut ici tenter des regroupements qui pourront paraître arbitraires, mais qui donneront un aperçu des thématiques abordées :

  • Création et fonctionnement institutionnels : création de la fonction de médiateur, recrutement des commissaires aux comptes, élection des membres réprésentant par le CA au SUMPS, statuts du SPACS, mise en place du comité électoral consultatif de l'université ;
  • Finances et budget : budget du niveau 1 aux niveaux 2, DBM 2, catalogue des tarifs, subventions, versements de cotisations, facturations...
  • Développement immobilier,
  • Formations : délibérations du CEVU,
  • Conventions et accords de coopération internationale.

Plusieurs de ces points ont suscité de longs échanges : la deuxième étape du budget 2010, la fonction de médiateur, la réussite des étudiants et l'immobilier.

Budget 2010, deuxième étape

La dotation du niveau 1 aux niveaux 2 est la deuxième étape de la procédure budgétaire.
Cette phase, plus technique, qui a pour objet de répartir les moyens affectés à l'université entre le budget central, dédié aux fonctions transversales, et les composantes et services communs, traduit concrètement les dispositions arrêtées par le Conseil d'administration du 22 septembre 2009 à l'occasion du débat d'orientation budgétaire.
Le vote de la dotation du niveau 1 aux niveaux 2 ne constitue pas encore l'adoption du budget définitif. Concrètement, cette étape intermédiaire consiste à évaluer l'ensemble des ressources dont bénéficie l'établissement (à l'exception des recettes générées par les composantes ou les unités de recherche) et d'en proposer la répartition, d'une part, entre les différentes missions de l'université et, d'autre part, selon les modalités de gestion qui auront été retenues, entre le niveau central et les composantes.
La répartition proposée s'effectue en cohérence avec les objectifs du contrat quadriennal signé le 23 juillet dernier pour la période 2009-2012.
Le budget 2010 verra la mise en oeuvre de nouvelles modalités de dotation des composantes. En effet, les travaux de définition de critères de dotation ont été poursuivis et ont abouti à la mise en place d'un modèle de répartition applicable à toutes les composantes (hors IUT et IUFM). Celles-ci bénéficieront de moyens répartis en quatre enveloppes allouées pour deux d'entre elles sous forme de droits de tirage (nettoyage, heures complémentaires) et les deux autres (administrative et pédagogique - entretien locatif) attribuées directement sous la forme de dotations financières.
Ce nouveau modèle dont les montants seront garantis tout au long de l'exercice, et dont le modèle devrait prévaloir tout au long du quadriennal, tient compte des spécificités des enseignements dispensés et du nombre d'étudiants.
C'est le Conseil d'administration de décembre qui délibérera sur le budget 2010.

Médiateur

Depuis quelques années, les pouvoirs publics ont jugé utile d'ajouter aux dispositifs de recours existant en cas de contestation de décisions prises, un mécanisme de médiation, plus souple et plus informel. Pour ne prendre que l'exemple de l'Education Nationale, des médiateurs académiques ont été mis en place en 1997 et un médiateur national existe depuis la même époque. Il a donc été décidé de créer une telle fonction au sein de l'Université de Strasbourg.
Les conditions de la saisine du médiateur sont encadrées par des dispositions réglementaires. L'activité du médiateur doit permettre à des individus de faire valoir leurs droits et d'obtenir des réponses de la part de l'université. Les interventions peuvent porter sur des faits concernant personnellement ceux ou celles qui saisissent le médiateur. Le médiateur peut être aussi conduit, sur la base des situations qu'il traitera, à aborder des éléments plus généraux tenant à notre organisation.
Les démarches du médiateur ne se substituent pas aux démarches de recours usuels (gracieux ou contentieux). Elles deviennent impossibles lorsqu'un recours contentieux a été introduit : le médiateur doit alors se déclarer incompétent.
Le médiateur s'assure du traitement juste et équitable par l'université de chacun des membres de la communauté universitaire. Il traite les demandes d'intervention des membres de la communauté universitaire qui s'estiment victimes d'injustice ou de discrimination de la part d'une personne agissant au nom de l'Université. Il les conseille sur la façon de faire valoir leurs droits, de défendre leurs intérêts ou de promouvoir leur point de vue. Il adresse des recommandations aux autorités de l'université afin que ces droits soient mieux pris en compte.
Le principe étant acté, il pourra être concrétisé par la désignation d'une personnalité dont le nom sera proposé prochainement.

Réussite des étudiants

Le plan « réussite en Licence » a vocation à augmenter les taux de réussite des étudiants en Licence. Le contrat quadriennal 2009-2012 définit en particulier deux indicateurs. Le premier est de conduire à un taux de passage de 52 % de L1 en L2 pour les primo-entrants (étudiants bacheliers de l'année d'inscription à l'université) ; le deuxième vise à l'amélioration du taux de réussite de la Licence en trois ans.
Pour contribuer à atteindre ces objectifs, un Diplôme d'université « tremplin-réussite » permettra de prendre en charge au deuxième semestre des étudiants de première année de Licence dont les résultats du premier semestre indiquent qu'ils ne pourront très vraisemblablement pas valider leur première année. Les étudiants entreprenant ce DU resteront inscrits dans la Licence qu'ils préparent et se verront proposer des unités d'enseignement et d'accompagnement particulières en remplacement d'unités d'enseignement de leur semestre 2.
Ce DU définit un cadre général. Les responsables des Licences de l'Université de Strasbourg proposeront les adaptations à leur mention de Licence, en particulier les contenus pédagogiques. Les enseignements correspondant fonctionneront au printemps 2010 et les diplômes seront délivrés à l'issue de l'année universitaire 2009- 2010.

Schéma stratégique de développement immobilier

Une étude vient de débuter sur le patrimoine immobilier de l'Université de Strasbourg. Il débouchera après plusieurs étapes de concertation, sur la rédaction d'un « Schéma stratégique de développement immobilier ». Les bases en ont été présentées aux membres du Conseil d'administration.
Le patrimoine immobilier de l'université est un héritage de plusieurs périodes historiques dont les plus anciennes remontent au XIXe siècle. L'état de ce patrimoine, son ampleur (près de 600 000 m²) et les différentes étapes de son développement ne permettent pas toujours à l'Université de disposer d'un parc immobilier optimum et performant, adaptable et à des coûts maîtrisés.
Un des leviers pour donner à l'université une forte attractivité nationale et internationale réside dans la capacité de l'établissement à proposer un immobilier de qualité au service  de son projet scientifique et pédagogique, mais aussi au service de la qualité de vie et de son intégration dans la cité en tant que lieu d'échange et de vie. Ce Schéma stratégique immobilier revêt donc une très haute importance pour l'université, elle-même engagée dans une croissante compétition entre établissements universitaires et scientifiques européens pour attirer les talents et les investissements.

La stratégie immobilière proposée vise à mettre l'immobilier au service d'une plus grande attractivité de l'Université de Strasbourg, et ce, au travers de 4 grands axes :

  • Disposer d'un patrimoine performant et adaptable à l'évolution de l'activité de recherche et des outils pédagogiques, par des investissements immobiliers à la hauteur des ambitions de l'Université de Strasbourg et de ses partenaires.
  • Optimiser l'exploitation et la maintenance  du patrimoine immobilier (réduction des coûts, performance énergétique, sécurité, amélioration du confort thermique, etc.) tout en cherchant à mutualiser les surfaces susceptibles de l'être sur les fonctions enseignement, administration et vie universitaire, et certains gros équipements de recherche.
  • Déployer une politique ambitieuse de « vie de campus » par des espaces publics de qualité et la réalisation d'équipements en faveur de la vie universitaire sur tous les campus.
  • Placer l'université au cœur des dynamiques de la « Cité » aux plans urbanistiques  et économiques.

L'élaboration de ce schéma fera l'objet d'informations régulières.

Robert Loye

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Le schéma stratégique de développement immobilier présenté au CA

Fruit d'une longue phase d'analyse et de réflexion, menée par l'université avec l'aide du cabinet Algoé, le schéma stratégique de développement immobilier vient d'être présenté au Conseil d'administration (20 octobre).
Ce document établit un état des lieux du parc immobilier de l'université (surfaces, état de vétusté, utilisation réelle...), et il explicite les axes stratégiques du développement immobilier sur les 30 années à venir, pour l'ensemble des campus. Il définit des priorités, une stratégie d'investissement, et fait le point sur les conditions de la mise en oeuvre du schéma. Le document sera présenté à d'autres cercles de la communauté universitaire avant validation finale au CA.
Schéma stratégique de développement immobilier : fichier à télécharger.

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Comité d'hygiène et de sécurité du 1er octobre 2009

Le CHS du 1er octobre a validé à l'unanimité le procès-verbal de la réunion du 9 avril 2009.

Au cours de la séance du 1er octobre ont notamment été validés à l'unanimité :

  • le plan de continuité des activités de l'Université de Strasbourg en cas de pandémie grippale,
  • la procédure relative à la mise en place des registres hygiène et sécurité dans chaque composante, unité de recherche hébergée à l'université et dans les services centraux et communs
  • la procédure relative à la mise en place du registre de signalement de danger grave et imminent  en cas de droit de retrait,
  • l'extension de la mise en place de défibrillateurs dans plusieurs bâtiments (information précise à suivre).

Sont notamment consultables sur l'ENT de l'Université de Strasbourg (rubrique intranet -  Sécurité/Environnement) :

  • rubrique « procédures et consignes de sécurité » : les  procédures relatives aux registres
  • rubrique « acteurs de la prévention » : l'ensemble des documents relatifs au CHS : composition du CHS de l'Université de Strasbourg, les ordres du jour des réunions du 9 avril 2009 et 1er octobre 2009, le procès-verbal du CHS du 9 avril 2009.

Contact : Service prévention sécurité environnement : spse@unistra.fr

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Développement durable : l'EM Strasbourg s'engage

L'Ecole de Management Strasbourg a choisi de faire vivre une démarche de développement durable, non seulement à l'égard des futurs managers qu'elle forme à l'exercice de leurs responsabilités sociétales et environnementales, mais aussi au quotidien au travers d'engagements concrets.
L'EM organise, le jeudi 22 octobre 2009 à partir de 17h30, une cérémonie consacrée au développement durable, ponctuée par deux moments forts en présence de M. Eckenschwiller, délégué général du Réseau Pacte Mondial France : la présentation et distribution du Premier rapport développement durable 2008/09 de l'EM Strasbourg et la signature d'une convention EM Strasbourg / E.M.Strasbourg-Partenaires et EDF / ES.

Consultez le communiqué de presse.

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Un médiateur de et pour l'université

Le Conseil d'administration a validé le contenu de la fonction de médiateur de l'Université de Strasbourg le 20 octobre 2009.
Ainsi les étudiants, futurs étudiants et personnels de l'université pourront faire appel au médiateur pour faire valoir leurs droits et obtenir des réponses de la part de l'Université de Strasbourg, sans que celui-ci ne se substitue pour autant aux démarches de recours usuels (gracieux ou contentieux).
Le médiateur s'assure du traitement juste et équitable par l'université de chacun des membres de la communauté universitaire, auprès desquels il joue un rôle de conseil afin de les aider à trouver les voies, individuelles ou plus organisationnelles, pour traiter des situations vécues comme injustes. Il s'agit de lutter contre l'indifférence, la culture du silence et la distance sociale.
Le médiateur participe ainsi, par le biais de sa fonction préventive et par les recommandations qu'il émet, à l'amélioration des relations entre l'université, ses personnels et ses étudiants.

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Travaux de réaménagement du 4e étage Nord à l'Institut Le Bel

et installation de laboratoire de recherche en chimie

Cet étage, vide depuis 2007 fait l'objet d'un réaménagement complet.
Le côté Rue Blaise Pascal est réservé aux laboratoires et le côté parking aux bureaux.
Les huisseries sont remplacées en totalité et leur degré coupe-feu est adapté à l'activité, soit pare-flammes ½ h pour les bureaux et les porte des dégagements, coupe-feu ½ h pour les laboratoires et coupe-feu 1 h pour le local à produits chimiques.
L'accès des sanitaires à l'extrémité Nord par la cage d'escalier est supprimé et remplacé par une entrée depuis le dégagement de l'étage.
Les sanitaires centraux sont mis aux normes d'accessibilité des personnes handicapées.
Le système d'extraction des sorbonnes et la compensation d'air sont entièrement revus pour une sécurité maximale pour les chercheurs.
L'électricité est entièrement rénovée ; le tableau d'étage est repositionné dans les locaux techniques au centre du bâtiment.
Un nouveau local réseau informatique est crée au centre du bâtiment au droit de l'artère principale.

Conduite d'opération : Pauline Copyloff / Dany Litt
Maîtrise d'œuvre : IXO Architecture
Bureau d'études : CEREC
Contrôleur technique : QUALICONSULT
CSPS : ACE BTB

Exécution des travaux : 15 juin au 15 novembre 2009
Budget global : 1 300 000 € TTC

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Du neuf pour le restaurant de la Meinau

L'Université de Strasbourg possède un unique restaurant collectif, dans le bâtiment du 15-17 rue du Maréchal Lefebvre (anciennement bâtiment IPST) à la Meinau. Ce site héberge le Service de la formation continue et une partir de l'UFR de physique et d'ingénierie de l'Université de Strasbourg. Le restaurant revêt un caractère essentiel, puisqu'il assure la restauration des stagiaires. Cependant, la structure, le fonctionnement et les équipements du restaurant présentaient de nombreux dysfonctionnements et conduisaient à des dépenses annuelles considérables pour l'université.
L'inévitable restructuration est de livrer des locaux (cuisine et salle) restructurés, adaptés à l'utilisation envisagée, et conformes aux termes d'un contrat futur entre une société de restauration et l'université.
L'ensemble des installations techniques (électricité, ventilation, réseau informatique...) a fait l'objet d'une rénovation complète.

Conduite d'opération : Pauline Copyloff / Robert Nessler
Maîtres d'œuvres :

  • RANGUIDAN SCHMITT Architectes
  • OTE Ingénierie

Budget : 1 100 000 € TTC, dont 900 000 € apportés par le Service de formation continue

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Séminaire "Prospective & développement"

A l'occasion du 20e anniversaire de la Confédération des universités du Rhin supérieur, le prochain séminaire « Prospective & développement » qui aura lieu le 12 novembre de 9h à 12h sera centré sur le thème d'EUCOR.
Rappelons que ces séminaires sont ouverts à tous, mais que, pour favoriser les échanges avec la salle, le nombre de participants est limité. Pour y participer, inscrivez-vous par courriel auprès de Christine Sandin-Fauvelle : christine.sandin@unistra.fr

Les vidéos des interventions seront mises à disposition sur l'intranet du Service prospective & développement pour tous ceux qui n'auront pu participer.

Accéder  au programme du séminaire.

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Boutique de l'université

La boutique de l'Université de Strasbourg s'est dotée d'objets dont vous pouvez faire l'acquisition auprès de :
Françoise Gast
Service de la communication
Tour de chimie
1 rue Blaise Pascal
Tél. 03 68 85 11 34
francoise.gast@unistra.fr


Vous pouvez vous les procurer en prestation interne en établissant un bon de commande à l'ordre du Service de la communication ou les acquérir à titre personnel (paiement par chèque ou espèces).

Prix HT Prix TTC
Stylo bic 0,42 0,50
Pack stylo/post-it 0,83 1,00
Presse papier en verre 23,00 27,50
Valisette PVC 3,70 4,40
Porte documents en tissu 5,22 6,25
Bloc 50 feuilles A4 1,04 1,24
Bloc 50 feuillles A5
0,42 0,50
Pochette cartonnée à rabat 0,42 0,50
Echarpe 20,90 25,00

D'autres objets, tels que parapluie golf et parapluie pliant, seront disponibles d'ici la fin de l'année et nous ne manquerons pas de vous en informer aussitôt.

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ENTRETIEN

Catherine Mongenet

vice-présidente politique numérique et système d'information

Tout en menant une réorganisation de fond en comble de la gouvernance et des services touchant au numérique, l'université a dû faire face à la gestion d'un quotidien informatique fortement impacté par la fusion.

CHIFFRES EN TÊTE

 

L'immobilier de l'université

  • 600 000 m2 de bâtiments
  • 1 000 000 de m2 de foncier
  • 110 bâtiments
  • 3 bâtiments classés

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